Voici les points discutés lors de ce groupe de travail :
Décharges ponctuelles : possibilité théorique (mais pas en temps de covid) d’obtenir du temps de décharge ponctuellement pour aider à la mise en œuvre de projet. Pas encore mis en place.
Abondement des décharges suite à la Loi Rilhac : c’est 70 écoles concernées. Beaucoup passent de ¼ à 1/3 : l’administration va essayer de composer des postes (titulaires de secteur ? fractionné ?) avec trois tiers (99% =100%).
Réserves : Pas d’abondement pour les petites écoles. Pas de moyens spécifiques, les 7 postes nécessaires sont « pris » sur les fermetures de postes.
Proposition du Sgen-CFDT : puisque beaucoup de directeurs sont amenés à prendre la classe de leurs collègues au pied levé sur leur jour de décharge, pourquoi ne pas abonder les décharges à 50% ? Réponse de l’administration : bonne idée mais cela coûte trop cher. Aucun IEN ne demande à ce que le directeur fasse office de remplaçant ! Si cela arrive, il faut prévenir la Dsden pour avoir une journée de décharge récupérée (dans la mesure du possible…)
Les stagiaires M1 et M2 seront à tiers temps l’an prochain, on ne sait pas encore combien ils seront, ils seront sur les décharges des PEMF mais aussi sur les décharges des directeurs.
Décrets d’application de la loi Rilhac : devraient sortir en mai, donc application à la rentrée. Attention ! les élections de parents d’élèves pourront se faire par voie électronique mais il faut procéder à la validation de cette modalité de vote au 3ème conseil d’école.
Points de vigilance par rapport à la loi Rilhac :
« Il bénéficie d’une délégation de compétences de l’autorité académique pour le bon fonctionnement de l’école qu’il dirige. Il dispose d’une autorité fonctionnelle dans le cadre des missions qui lui sont confiées.
Le directeur d’école propose à l’inspecteur de l’éducation nationale, après consultation du conseil des maîtres, des actions de formation spécifiques à son école.
Le directeur participe à l’encadrement et à la bonne organisation de l’enseignement du premier degré. Il peut être chargé de missions de formation ou de coordination. L’ensemble de ces missions est défini à la suite d’un dialogue avec l’inspection académique. »
Autres points évoqués lors du GT :
LSU accessible aux remplaçants : prévu à partir d’une absence de 15 jours au moins. En cas d’absences cumulées au-delà des 15 jours, c’est possible mais le remplaçant doit le préciser à l’administration.
Les 3 postes de Brigade qui vont être créés à la rentrée devraient être rattachés à des petites écoles.
Médiateurs lutte anti covid (M-LAC) : au nombre de 3(1 par bassin), des contractuels ont été recrutés jusqu’en juillet (un par circo) pour aider à la gestion de la crise sanitaire. Arrivés après la bataille de janvier, on réfléchit à ce qu’ils peuvent faire à distance : rattachés à une ou plusieurs écoles, il n’ont pas de frais de déplacement !
La formation des nouveaux directeurs : 5 semaines par an et des jours d’accompagnement avec le tuteur et de rencontre avec la Mairie. Stages maintenus malgré la crise sanitaire.